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La lavatère (1) se marie très bien avec les coquelourdes (2) dans une harmonie de roses. La plage de fétuque bleue (3) met en valeur ce mariage ! | Les digitales (1) sont en harmonie de stature et de forme avec ces campanules dans différents tons de bleu, blanches ou roses (2 et 3) les euphorbes vert anis (4) renforcent la scène pour une fraîcheur printanière. | Mariage du grevélia (2) qui fleurit rouge et du punica ou grenadier (1) aux jolies fleurs orangées panachées de blanc-crème. La spirée (3) a terminé sa floraison et nous grattifie de jeunes feuilles vert tendre qui mettent l'orangé en valeur. |
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Les pois de senteur bordeaux (1) se sont couchés dans le géranium vivace rose (2) et produisent un dégradé harmonieux. | Quatuor très sympatique : le rosier Pierre de Ronsart (1), les oeillets de poète d'un rose presque rouge (2), le géranium vivace (4) forment une symphonie de dégradés ! Les petits coeurs de la brize maxima (3) garnissent bien l'espace et ferment le décor. | Les weigélias rose (1) et rouge (2) encadrent cette pivoine herbacée bordeaux (3). Les stachis lanata (4) procurent douceur et éclairage à cette scène très plaisante. |
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Bel effet tendre et frais en dégradés de vert anis et blanc pour cette scène composée d'hellébores fétides, d'ibéris (2), de tulipes blanches (3) et d'euphorbes (4). | Le rosier grimpant rose (1) et le "paysage" rouge (2) illuminent cette scène et sont soutenus par le ciste rose (3) que l'on devine à l'arrière plan. La sauge (4) a, quant à elle, terminé sa belle floraison bleue. | Beaucoup de bleus dans cette scène : la jeune glycine (1) devant le ceanothe (2) qui surplombent les iris... Le céraiste blanc (3) au premier plan renforce l'impression de profondeur et de pente. |
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Rose et rouge : un mariage réussi entre cet oeillet rose (1) et l'euchère (2) dont le feuillage est masqué par la sauge à feuillage brun aux reflets bleus (3) en harmonie avec le feuillage de l'oeillet. La spirée en arrière (4) va bientôt compléter ces dégradés. Le rosier chinensis mutabilis (5) (installé en bas du muret) participe déjà à ce magnifique bouquet rose et rouge. | Beaucoup de chaleur et de profondeur dans cette scène au moment de l'explosion florale du lagerstroemia (1) (lilas des Indes) devant le sumac de Virginie (2). A ses pieds, le pivoinier a fini sa floraison, mais garde encore son feuillage bronze du printemps. Le pittosporum tenuifolium variégatum (4) à feuilles marginées éclaire l'angle gauche. | Un joli trio de belle stature, léger et frais avec ce coeur de Marie (1), le nuage bleu du myosotis du Caucase (2) et les tulipes rouges (3) qui ferment ce tableau. Au premier plan, un tapis bas de saxifrages en rosettes (4) s'étale et garnit le sol en attendant sa fragile floraison élevée en brouillard blanc. |
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Encore du bleu pour ces couvre sol : un cératostigma qui fleurit bleu (1) et la fétuque bleue (2) dont l'éclat donne un reflet bleuté aux feuillage vert de sa compagne. | La même scène avec le coeur de Marie (1) et le myosotis du Caucase (2) vue d'un autre angle qui montre que la pivoine herbacée (3) prendra le relai de sa grosse floraison rose lorsque le coeur de Marie s'endormira... | Une scène de rocaille : l'aubriète rose (1) en compagnie d'une euphorbe myrsinite en fleur (2) et d'iris (4). Le lierre (3) commence à garnir les pierres pour les faire oublier. |
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La pivoine herbacée présente ses boutons prometteurs. Elle est soutenue par un tapis de stachys lanata (3) bleuté qui s'harmonise à la couleur du feuillage des iris (2). Le contraste de formes et de textures des feuillages renforce l'intérêt de cette scène. | Un mariage très réussi pour ce géranium vivace (1) et ces iris panachés (2) tout en contraste de formes, de textures et de couleurs... mais pourtant si ravissant ! Les panachures beiges des feuilles élancées des iris éclairent ce duo parfait. | Dans ce duo, le géranium macrorrhyzum (1) est soutenu par cette euphorbe polychrome (2) pour éclairer et garnir le pied d'un chêne. Derrière eux, on devine le feuillage large, en forme de coeurs, et duveteux du phlomis herbacé (3). Il va prende de la hauteur et offrir sa floraison jaune étagée et structurée. Ses pompons de graines persisteront longtemps... |
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Association d'arbustes : le millepertuis en fleur (1) taillé en boule ouvre l'entrée et s'harmonise avec la boule de l'if (2) placée entre lui et le cotinus au feuillage rouge qui déploie ses perruques vaporeuses (3). Le sumac (4) et les althéas (5) ferment ce tableau aux feuillages si différents. | Le géranium vivace macrorrhyzum en fleur (1) s'associe bien avec la lysimaque dorée rampante (2). Ce couvre sol s'harmonise parfaitement avec la floraison de l'euphorbe en arrière plan (3). Cette scène rappelle la fraicheur printanière par ses tons clairs, acidulés. Elle prend le relais de la magnifique floraison des hellébores que l'on devine en arrière plan. | L'euchère pourpre (1) cerne l'eucherelle (2) en fleurs en un contraste de couleurs qui accentue l'éclat de cette floraison blanche poudrée de rose. L'euchère caramel (3) garnit et tapisse le sol en contraste avec le feuillage vert, élancé et assez fin des jacynthes qui ont terminé leur imposante floraison parfumée. |
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Cette scène occupe un terrain assez ingrat colonisé par les racines de chênes, à l'ombre. Elle reprend l'association du géranium vivace (1) et de l'euphorbe polychrome (2) en tons acidulés. La blancheur des impatients (4) et des panachures du phalaris (3) éclaire ce tableau. Le contraste de forme et de stature du phalaris avec ses compagnes dynamise la scène. Le phlomis (6) en arrière plan et la sauge microphilia (5) au premier plan prendront le relais des floraisons. | Harmonie de rose et de bleu pour ce duo que j'apprécie beaucoup au printemps. Le rosier (2) à petites fleurs groupées va maintenir longtemps l'intérêt de cette scène. Plantées en nombre, les centaurées montana (1) rivalisent par leur masse, leur hauteur et leur floraison avec la stature du rosier. En hiver, leur feuillage gris velouté tapisse le sol en produisant une masse claire telle une moquette bouclée. | Des tons frais et acidulés pour cette scène de mini-rocaille. Le bleu des centaurées montana (1) produit un contraste fort avec le jaune franc de la corbeille d'or (3). La floraison vert-anis de l'euphorbe (2) et le feuillage gris de l'hélichrysum (4) modèrent ce contraste et l'adoucissent. La corbeille d'or va se développer, garnir le pied des centaurées et accentuer l'effet de coussin fleuri. |
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Un autre coussin fleuri que j'aime beaucoup : des feuillages contrastés qui s'associent, un tableau changeant (blanc et bleu au printemps puis jaune et blanc ensuite après le vert anis de l'hiver...). Le coussin blanc de l'ibéris (1) en contraste avec les feuillages foncés de la santoline verte (2) et de l'hellébore fétide (6). La santoline grise (4) au premier plan reprend le ton du céraiste (5) de l'arrière plan dont la floraison blanche relaira celle de l'ibéris. Les santolines fleuriront en nuances d'étoiles jaunes pour remplacer les centaurées (3)... Les feuillages fins ou plus larges persistent en camailleux l'hiver. | Une symphonie de couleurs acidulées pour ce massif fleuri qui reprend à lui seul la majorité des plantes présentées plus haut auxquelles viennent s'ajouter des ancolies doubles roses et blanches (1) ; les euphorbes (4) et la lysimaque rampante (5), les centaurées (2), le géranium macrorrhyzum (3). Le feuillage panaché jaune et vert d'une hémérocalle (7) commence à s'affirmer. Les campanules (6) de grande stature préparent leurs belles clochettes pour prendre la suite des floraisons (voir leur effet dans le même massif : la deuxième photo en haut). | Duo de valérianes rose et blanche. Elles succèdent aux tulipes, coeur de Marie et myosotis qui ont terminé leur effet. Ces valérianes de belle stature occupent la scène en attendant la floraison de la lavatère placée en arrière et des lichnis (que l'on devine sur la droite de la photo) pour un fleurissement étalé et prolongé ! Les éphémères de Virginie à fleurs bleues ferment ce tableau, au fond à gauche. |
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Tableau surprenant que cette gaillarde rouge qui se marie parfaitement avec les inflorescences de l'euphorbe pour marier les couleurs sans pour autant les affadir ! En effet, le vert des feuillages pourrait produire un contraste fort et moins harmonieux avec le rouge vif de la gaillarde... Les fleurs rondes de couleur soutenue dynamisent ce duo ; sans elles la scène perd tout son intérêt. | Un bel effet de feuillages entre deux floraisons. Les myosotis du Caucase aux larges feuilles argentées en forme de coeur, veinées de vert ont terminé leur floraison en brouillard bleu. Les rosettes des saxifrages à leur pied forment un tapis ras, bien vert, qui contraste par sa couleur et sa hauteur. Il va bientôt développer lui aussi un brouillard blanc autour de ses hampes de fleurs. | Massif de digitales et campanules pour un foisonnement de fleurs, une harmonie de couleurs et de statures. Une orchidée sauvage rose, elle aussi, s'est invitée à la scène et complète l'effet des digitales. |
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